La sonde périnéale connecté : Perifit
Dans cet article, nous passons en revue ses caractéristiques, sa qualité de fabrication, ses avantages, ainsi que sa compatibilité avec différentes applications de santé
Jours après jours laissez vous guider vers la liberté
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Dans cet article, nous passons en revue ses caractéristiques, sa qualité de fabrication, ses avantages, ainsi que sa compatibilité avec différentes applications de santé
Le vaginisme est une condition qui affecte de nombreuses femmes et peut entraîner des douleurs et des difficultés lors des rapports sexuels
Sec toy dans la rééducation du périnée
La fuite urinaire est un terme familier pour incontinence urinaire. L’incontinence urinaire c’est toute fuite involontaire d’urine dont se plaint le patient. [1]
Cela est dû au fait que les causes responsables des fuites urinaires ne sont pas toujours les mêmes. En effet, il existe un nombre incalculable de causes. Parmi elles en voici quelqu’un :
Il faut savoir qu’il existe différents types de fuites urinaires. En effet, il existe 11 types de fuites urinaires répertoriées par l’ICI (The International Consultation on Incontinence).
Vous trouverez ici les différents outils qui permettent d’évaluer les fuites urinaires et leur impact sur votre vie.
« Césarienne ou voie basse : quel impact sur votre périnée ? Découvrez comment préserver votre plancher pelvien après l’accouchement ! »
Non, l’accouchement par voie basse n’abime pas systématiquement le périnée. En effet, le périnée est étiré lors d’un accouchement vaginal, mais ça ne veut pas dire qu’il est toujours endommagé. Une déchirure ou une épisiotomie peut arriver, surtout si le bébé est gros ou l’accouchement rapide, mais avec une bonne préparation et rééducation, beaucoup de femmes récupèrent bien.
Pas totalement. Elle évite l’effort direct du passage du bébé, mais la grossesse elle-même (le poids du bébé, les hormones) sollicite le périnée. De plus, une césarienne après un long travail peut aussi l’avoir fatigué. Donc, le périnée lors d’une césarienne est mieux préservé, mais pas à l’abri.
Il existe plusieurs risque pour le périnée lors d’un accouchement vaginal:
Il faut environ 6 à 8 semaines pour la cicatrisation de base du périnée si ce dernier est déchiré. Mais globalement, 3 à 6 mois sont nécessaire avec une rééducation sérieuse pour retrouver une bonne force. Par contre, s’il y a eu des complications, cela peut aller jusqu’à un an parfois.
Comme vu plus haut la grossesse met de la pression sur le périnée, et une faiblesse des abdos après l’opération peut le surcharger. Un travail avant la césarienne peut aussi jouer. A cela il faut ajouter le poids du bébé et les effets des hormones.
Oui, clairement le périnée est moins solliciter par le césarienne que la voie basse. Nous n’avons pas de passage du bébé, donc pas d’étirement intense ni de risque de déchirure directe. Mais il subit quand même la grossesse.
La césarienne peut réduire le risque, mais si le périnée était déjà faible ou sollicité avant l’opération, des fuites peuvent comme arriver. N’oublions pas que les effets de la grossesse elle-même ont déjà affaibli le périnée. Donc parfois le patient présente des fuites lors d’une césarienne, alors que ces dernières résultent des effets de la grossesse et non de la césarienne
Oui, en général, il a été beaucoup plus étiré lors de la voie basse et parfois même coupé ou déchiré lors de cette dernière. Alors que lors d’une césarienne, il est moins impacté directement.
La rééducation n’est pas systématique nécessaire après une césarienne, mais souvent utile. Même sans accouchement vaginal, la grossesse affaiblit le périnée, et une évaluation peut prévenir des soucis.
Environ 6 femmes sur 10 ont une petite déchirure au premier accouchement. Les plus graves (jusqu’au sphincter) sont rares, autour de 1-3 %.
Oui, l’accouchement par voie basse augmente le risque de prolapsus plus tard, dans une certaine mesure. C’est un facteur aggravant et non un facteur déterminant. En effet, si le périnée reste faible ou si plusieurs accouchements vaginaux s’accumulent. L’étirement répété le rend moins solide.
Oui, la césarienne diminue le risque de descente d’organe par rapport à la voie basse, car le périnée n’est pas autant distendu lors d’une césarienne. Mais la grossesse seule peut contribuer un peu.
Les douleurs périnéales après une césarienne peuvent venir :
Les épisiotomies lors d’une voie basse ne fragilisent pas forcément le périnée à long terme, s’il est bien recousues et rééduquées. Mais une cicatrice rigide ou mal soignée peut gêner la souplesse.
Aucune garantie n’est donnée par la césarienne en ce qui concerne les problèmes de fuites urinaires à la ménopause. En effet, la ménopause fragilise les tissus de toute façon, et une césarienne ne compense pas tout.
Oui, on renforcer son périnée avant un accouchement pour limiter les dégâts! Des exercices comme les Kegel dès la grossesse améliorent la tonicité et la résistance. Du moins cela limite les risques.
La rééducation périnéale peut être plus longue après une voie basse qu’après une césarienne. Après une voie basse, il y a plus de travail pour réparer l’étirement ou les lésions.
Des contractions douces du périnée (Kegel), associées à une respiration contrôlée et un renforcement progressif des abdos profonds (transverses).
C’est une option si le périnée est déjà très faible ou s’il y a des risque médicaux. Mais ça ne supprime pas tout impact, et il y a les risques de l’opération à peser.
Si vous avez l’un ou tous les symptomes suivant:
Un test manuel ou avec sonde chez un kiné le dira précisément.